imaginer demain sans fatalité
La sobriété heureuse est de plus en plus brandie comme solution pour relever les défis liés au climat, à l’épuisement des ressources naturelles, à la multiplication des grandes épidémies, aux inégalités, à la malnutrition et aux conflits armés…
L’écologie politique ne parvient pourtant pas à nous convaincre qu’il ne s’agisse pas d’une nouvelle fuite en avant, punitive et inégalitaire.
Par quoi remplacer le « progrès pour toutes et tous » (inscrit dans la Constitution fédérale)?
Comment penser l’avenir?
Suggestions très succintes de lectures qui interrogent les grandes idéologies héritées du XXe siècle et complètement inutiles pour imaginer demain:
– Les limites à la croissance (dans un monde fini), Dennis Meadows, Donella Meadows et Jorgen Randers
– La convivialité, Ivan Illich; et ses autres écrits
– Eloge du suffisant, André Gorz
– Moins!, journal de la décroissance