Human behavior is key to determining our climate future, but most scientific models don’t take it into account.

Une étude parue dans Nature apporte une once d’espoir, en rappelant que ces scénarios cataclysmiques négligent un facteur essentiel: la capacité des être humains à changer d’avis. En prenant en compte les changements d’opinions et de comportement face à l’évolution du climat, les chercheurs estiment qu’existe «une forte probabilité d’accélérer la réduction d’émissions au cours du 21e siècle». 

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Une étude qui fait du bien car…

j’avais besoin de lire une telle nouvelle!  Les catastrophes en cascade sur le plan du climat, ou du moins la tendance à ne voir plus que par ce bout de la lorgnette nourrit une étrange manière d’être au monde. Toujours sur le qui-vive, à redouter une info pire que celle d’hier… Bref, avoir foi en l’humain et sa capacité à changer son opinion en fonction des données reçues me semble un pari salvateur., du moins pour mon équilibre mental. J’essaie!

Une étude qui fait du bien car…

j’avais besoin de lire une telle nouvelle!  Les catastrophes en cascade sur le plan du climat, ou du moins la tendance à ne voir plus que par ce bout de la lorgnette nourrit une étrange manière d’être au monde. Toujours sur le qui-vive, à redouter une info pire que celle d’hier… Bref, avoir foi en l’humain et sa capacité à changer son opinion en fonction des données reçues me semble un pari salvateur., du moins pour mon équilibre mental. J’essaie!